21 novembre 2007
Encore quelques mots sur ce texte.
Ce texte-là m'a remué les tripes. Mais la problématique est la même que pour le précédent. Comment peut-on oublier que l'on est un homme et ne pas s'opposer à ce qu'on détruise une vie. Fut-ce celle du plus parfait des salauds. Je ne peux pas m'imaginer...